Mercosur et Washington appellent à une solution pacifique entre le Venezuela et le Guyana
Le président du Vénézuela Nicolas Maduro. /Photo prise le 4 décembre 2023/REUTERS/Leonardo Fernandez Viloria
CL
+0,50%
Ajouter au/Supprimer du portefeuille
Ajouter à la Watchlist
Ajouter position
Position ajoutée avec succès à :
Veuillez attribuer un nom à votre portefeuille de titres
Type:
Achat
Vente
Date:
Quantité:
Cours
Valeur du point:
Levier:
1:1
1:10
1:25
1:50
1:100
1:200
1:400
1:500
1:1000
Commission:
Créer une nouvelle Watchlist
Créer
Créer nouveau portefeuille de titres
Ajouter
Créer
+ Ajouter une autre position
Fermer
WASHINGTON (Reuters) — Alors que les tensions augmentent entre le Venezuela et le Guyana, les Etats-Unis ont apporté leur soutien à la souveraineté guyanienne tandis que plusieurs pays sud-américains ont appelé les deux pays à une résolution pacifique.
Les deux pays se disputent le territoire de l’Essequibo, riche en pétrole et en gaz, administré par le Guyana mais revendiqué de longue date par le Venezuela.
Les Vénézuéliens ont rejeté, lors d’un référendum organisé dimanche, la compétence de la Cour internationale de Justice (CIJ) sur le différend territorial qui oppose le Venezuela au Guyana voisin.
Le Guyana a questionné la légitimié de ce référendum et a mobilisé ses forces militaires.
«Nous apportons notre soutien inconditionnel à la souveraineté du Guyana», a déclaré le porte-parole de la Maison blanche, ajoutant que Washington militait pour une résolution pacifique du différend.
Les Etats-Unis ont annoncé qu’ils allaient mener des opérations aériennes conjointement avec le Guyana.
Les pays du Mercosur ont exhorté le Venezuela et le Guyana à «chercher une solution pacifique», avertissant sur des «actions unilatérales» qui pourraient aggraver la situation, dans un communiqué signé par les pays membres de l’alliance, l’Argentine, le Brésil, le Paraguay et l’Uruguay. Le Chili, la Colombie, l’Equateur et le Pérou, non membres du Mercosur, ont également signé le communiqué.
Le ministre britannique des Affaires étrangères David Cameron a appelé Caracas à arrêter toute action unilatérale à sa frontière avec le Guyana.
(Steve Holland et Kanishka Singh; version française par Zhifan Liu)